Straz le Grand Gourou

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Nous en conviendrons : depuis que l’homme est homme, les promoteurs de sectes et de religions (une religion étant une secte qui a réussi à être pratiquée par un plus grand nombre...), se sont efforcés à nous conduire vers la foi.

Encore faut-il savoir vers quoi se dirige cette dernière… Pour notre article, nous dirons que notre religion est le Rock français et que notre guide spirituel est Diego Straz.  Lorsque l’on croise le regard de notre Grand Gourou Straz, nous ne pouvons que ressentir ce petit frisson parcourant l’échine.

En effet, le charisme impressionnant émanant de cet homme ne peut laisser de marbre. Nous sommes en face d’un Artiste, un vrai avec un grand A !

 

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Elevé par le grand Dalaï-lama…

 

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Pour l’heure, Diego Straz nous présente un EP 5 titres, sorte de teaser d’un deuxième album en préparation, tout en français dans le texte et enregistré/mixé par lui-même.

N’ayez crainte chers fidèles, un travail maison émane souvent d’une mure réflexion, d’un dur labeur pour faire ressortir chaque nuance de jeu, une quête infinie vers l’extase de la divine galette achevée.

La plage d’ouverture chante les louanges d’une certaine Adenora qui, selon le site « signification-prénom » correspond à une femme à principes, directe et franche entreprenante, dynamique, mais parfois aussi autoritaire et orgueilleuse, voulant obtenir les premières places.

Un premier titre on ne peut mieux choisi car effectivement, on se rend compte que notre Gourou ne rigole pas et a pris son travail très au sérieux. De la guitare pleine de « Fuzz », des refrains sonnant comme des évidences, un style lyrique  tout en finesse (écriture proche à du Bashung, du Noir Désir dans les jeux de mots) et un timbre nous faisant penser à du Axel Bauer. Ne rigolez pas, Axel est un monstre de scène tout comme notre Gourou de la basse/guitare qui occupe les pensées du public présent en nombre pour entendre ses paroles ainsi distilées lors de ses rassemblements sonores (plus communément appelés concerts) ou en accompagnant ceux des autres (sur scène avec Alain Chamfort, Aaron, Laura Pausini, Aurélie Cabrel…).

 

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Dispenser la pensée Rishnou à travers le monde

 

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Et cet EP 5 titres y arrive avec facilité : contenant 4 titres pouvant revendiquer l’appellation « single radiophonique », le style relativement similaire dans la construction musicale de chaque morceau n’a heureusement pas le temps de faire naître un sentiment de monotonie dans le subconscient de l’auditeur (en espérant que le futur album ne tombera pas dans ce piège). « Queen Rosie » (avec ces allures d’Only de NIN) clôture superbement notre messe musicale.

 

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Diego Straz nous prouve que les mots rock, charisme et français peuvent fusionner en un seul être. A découvrir de toute urgence !

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Chronique réalisée par Steph.

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