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Sur le premier titre diffusé « I could be wrong » nous retrouvons les ingrédients qui ont fait le charme et la particularité de Private Joke; Didier Communi nous assurant lui-même que le projet n'est pas à des lieues de Private Joke, ce qui n’est pas pour nous déplaire.

 

L’avenir pour ToY ?

 

"Keep the Instant's Grace”, un album en pleine finalisation qui devrait sortir avant la fin de l’année.

 

Pour celles-et ceux qui suivent notre page facebook, vous avez pu découvrir pas moins de six nouveaux titres offerts en exclusivité pour « Du belge dans les oreilles », ce qui vous donne un aperçu de ce que sera l’album de ToY.

 

Didier Communi : L’album était déjà prêt il y a quelques temps, mais de nouveaux titres nous ont amené à le faire évoluer.  A savoir que le groupe s’auto-produit et prépare un clip sur le titre "Revolution Now" prévu pour décembre.

 

Outre « I could be wrong » déjà cité, « Révolution now », justement, nous laisse entrevoir la voie suivie par le groupe.

A son écoute, on ne peut que citer une des influences de ToY, en l’occurrence Ghinzu.

 

Attention, nous ne parlons ici que d’influence, ce mélange piano-guitare-synthé étant des plus plaisant, comme il peut l’être dans le groupe de John Stargasm.

 

En finalité, la principale influence de ToY est…Private Joke et ToY lui-même!

 

« She has control » n’en est qu’une preuve supplémentaire car, heureusement, nous sommes très loin d’un quelconque plagiat et ToY apporte une touche toute personnelle à un style qui aurait tendance à se répéter.

 

Au contraire des titres pré-cités, « Slowly » nous entraîne en douceur dans une atmosphère plus lancinante durant les sept minutes que dure ce morceau.

Magnifiques arrangements pour un non moins magnifique morceau.

 

Avec « The Way you gonna love me », « Waiting for the wall », ainsi qu'avec les autres titres qui apparaitront sur l’album "Keep the Instant's Grace”,  vous conviendrez que ToY a un bel avenir devant lui.

 

Alors n’hésitez pas à suivre l'actualité de ce groupe et à vous procurer cet album dès sa sortie.

 

C’est bon, c’est beau,… C’est belge !

 

 

 

 

 

Article réalisé par Peter le 05 nov 2013

 

 

Remerciements à Didier Communi

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 

 

Liens :

ToY : Une renaissance pour Private Joke ?

      

Tel le phoenix, ToY renait des cendres de Private Joke…

Groupe bruxellois de rock alternatif créé en 2004, Private Joke était composé d’Eric Vermeiren (chant et basse), Benjamin Nyst (guitare) et Didier Communi (chant, claviers, programmation), avant d’être rejoint par Jérôme Elleboudt (batterie).

Avec des titres forts comme « Private Song », « Failure », « You don’t know me » ou, au contraire, plus atmosphériques : « Shine », « Requiem for a dream », « Nowhere is here now », le groupe alliait des riffs de guitare saturés avec un piano tout en résonnance.

Private Joke n’est plus et nous laisse un Ep « No one knows us » (2006),  ainsi que deux albums de qualité « Celebrity » (2008) et Shine (2011), que je ne peux que vous conseiller.

 

R.I.P Private Joke et Welcome to ToY !

 

Exit Jérôme Elleboudt, c’est désormais à trois et sous le nom de ToY que le groupe continue son petit bonhomme de chemin et se réoriente vers une formule plus électro-rock où les morceaux sont totalement issus d'une unité de programmation, sans vrai batteur comme avant.

 

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